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  • LE HOUBLON,
    DE L’USAGE TRADITIONNEL A LA RECHERCHE SCIENTIFIQUE
    Les cônes du houblon (Humulus lupulus) sont traditionnellement utilisés pour favoriser le sommeil et soulager les troubles de l’humeur. La recherche s’intéresse à ses principes actifs et à leurs effets sur la santé. Les premières études cliniques concernent notamment l’action sédative et hypnotique des extraits de houblon ou encore, leurs effets sur les bouffées de chaleur, le déclin cognitif, ou l’adiposité.
  • LA GEMMOTHERAPIE
    OU MEDECINE DES BOURGEONS
    Elle utilise les tissus embryonnaires végétaux, bourgeons et jeunes pousses sous forme de macérat glycériné. Un bourgeon renferme toutes les informations et les éléments qui permettront à la plante de se développer : patrimoine génétique, acides aminés, minéraux, oligo-éléments, facteurs de croissance, flavonoïdes…
  • SELENIUM & CANCER,
    SON ROLE DUAL DANS L’HOMEOSTASIE REDOX
    PAR LE DR ELEONORE DJIKEUSSI
    Oncologue, hématologue, micronutrionniste
    Le sélénium, par le biais des sélénoprotéines, joue un rôle fondamental dans la lutte contre le stress oxydantLe stress oxydant apparait lorsque l’organisme est soumis à tellement d’attaques par des radica.... Son intérêt en matière de prévention et de traitement des cancers fait l’objet de nombreux essais cliniques.
  • PEA,
    (PALMITOYLETHANOLAMIDE)
    ET DOULEURS CHRONIQUES
    Dans ce domaine aussi, une dysbiose du microbiote local intervient dans l’apparition et le développement de ces maladies.
    Des études ont évalué l’impact que pourrait avoir l’utilisation de probiotiques spécifiques.

Bonne lecture 👏

Brigitte Karleskind, Rédactrice en chef

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ousses de brocolis et rhinite allergique

Pousses de brocolis

et rhinite allergique

L’administration préventive à des enfant souffrant de rhinite allergique d’un mélange de souches probiotiques (Bifidobacterium animalis Subsp., Lactis BB12 et Enterococcus faecium L3) a réduit les signes et symptômes de l’allergie et diminué le recours à un traitement conventionnel.

Le stress oxydantLe stress oxydant apparait lorsque l’organisme est soumis à tellement d’attaques par des radica... issu de la pollution pourrait contribuer à augmenter l’incidence des troubles allergiques dans les zones urbaines. Des animaux exposés à des polluants incluant des particules de gaz d’échappement de moteurs diesel, produisent davantage d’IL-4, une cytokine générée par les cellules Th2 et plus d’anticorps IgE. Ces derniers s’attachent aux mastocytes pour provoquer leur dégranulation et de possibles réactions allergiques.

De même, des études sur l’homme montrent qu’une exposition du mucus nasal aux particules de gaz d’échappement de moteurs diesel conduit à une augmentation des IgE dans ce mucus.

Ces données suggèrent que des antioxydantsUn antioxydant est une substance qui s’oppose à l’action délétère des radicaux libres et pro... pourraient avoir des effets bénéfiques chez des personnes souffrant de troubles allergiques y compris de rhinite allergique. Les concentrations d’IgE sériques de souris exposées à des allergènes et à des particules issues de gaz d’échappement de moteur diesel diminuent après une exposition à des thiols antioxydantsUn antioxydant est une substance qui s’oppose à l’action délétère des radicaux libres et pro....

Le sulforaphane a été isolé comme un produit dérivé des brocolis. Il a des activité antioxydantes. Des travaux ont montré que l’administration de pousses de brocolis homogénéise l’augmentation de l’expression de l’enzyme de phase II dans des cellules épithéliales nasales. 

Une étude a évalué les effets d’une supplémentation en sulforaphane sur la rhinite allergique provoquée par des pollens de graminées. Quarante-sept personnes présentant une rhinite allergique déclenchée par des pollens de graminées ont pris part à cette étude randomisée, en double aveugle et contrôlée contre placebo. Une partie d’entre eux a pris quotidiennement 750 mg d’un extrait de pousses de brocolis, l’autre un placebo. Cette prise était associée à l’utilisation locale d’un spray de corticostéroïdes ou d’une solution saline. 

Des échantillons ont été collectés avant le début et à la fin de la période de supplémentation pour déterminer les concentrations de cytokines dans le mucus nasal, le pic du débit inspiratoire nasal (PNIF) et le score total des symptômes nasaux (TNSS).

Les résultats montrent une amélioration du PNIF chez les participants ayant utilisé le spray de corticostéroïdes avec ou sans l’extrait de pousses de brocolis, indiquant une amélioration de la congestion nasale. Le TNSS, par rapport au placebo, a été amélioré chez les personnes ayant utilisé le spray de corticostéroïdes associé à l’extrait de pousses de brocolis. Cette amélioration n’a cependant pas perduré au-delà de 30 mn après l’exposition aux pollens. Cela suggère que le sulforaphane pourrait intervenir dans la première phase de réaction au cours de laquelle les mastocytes libèrent les médiateurs de l’inflammation. Par contre, il ne préviendrait par la seconde phase.

D’autres études sur un plus grand nombre de personnes sont nécessaires pour valider l’utilité du sulforaphane chez des personnes souffrant de rhinite allergique. 

Yusin J et al. The effect of broccoli sprouts extract on seasonal grass pollen-induced allergic rhinitis. Nutrients, 2021, 13, 1337. 

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Probiotiques et rhinite allergique

Probiotiques

et rhinite allergique

L’administration préventive à des enfant souffrant de rhinite allergique d’un mélange de souches probiotiques (Bifidobacterium animalis Subsp., Lactis BB12 et Enterococcus faecium L3) a réduit les signes et symptômes de l’allergie et diminué le recours à un traitement conventionnel.

La rhinite allergique touche 10 à 25 % de la population et sa prévalence a augmenté au cours de ces dernières décennies. La présence de souches bactériennes spécifiques pourrait avoir une incidence sur le développement des maladies allergiques. On a récemment suggéré que le microbiote intestinal pourrait être impliqué dans l’augmentation de l’incidence des maladies allergiques.

La rhinite allergique est une maladie inflammatoire non infectieuse de la muqueuse nasale. Elle est induite par une réaction déclenchée par les IgE à la suite d’une exposition à un ou plusieurs allergènes auxquels la personne est sensibilisée. C’est une des maladies chroniques les plus fréquentes chez les enfants. Par ailleurs, la rhinite allergique est étroitement associée à d’autres maladies des voies respiratoires telles que l’asthme, la sinusite ou les otites. 

Un traitement médical conventionnel conjugue généralement des corticostéroïdes locaux et un antihistaminique par voie orale. Il ne soulage souvent pas totalement les symptômes allergiques et peut être associé à des effets secondaires comme de la fatigue et l’envie de dormir qui limitent les activités diurnes des enfants.

De récentes données suggèrent que certaines souches probiotiques moduleraient les réponses inflammatoires et immunologiques et qu’elles pourraient donc constituer un possible traitement préventif des maladies allergiques telles que la rhinite allergique. 

Une étude randomisée contrôlée contre placebo a évalué les effets d’un traitement préventif avec un mélange de souches probiotiques sur des enfants souffrant de rhinite allergique, habituellement traités par des corticostéroïdes locaux et des antihistaminiques oraux. 

Deux cent cinquante enfants âgés de 6 à 17 ans, souffrant de rhinite allergique, ont participés à cette étude. Pendant les trois mois précédant le début de l’apparition des symptômes liés aux allergènes auxquels ils étaient sensibilisés, principalement des pollens de graminées, Les enfant ont reçu quotidiennement un mélange de probiotiques ou un placebo. Le mélange était constitué des souches Bifidobacterium animalis Subsp., Lactis BB12 DSM 15954 et Enterococcus faecium L3 LMG P-27496. 

Les résultats indiquent que chez les enfants ayant pris le mélange de souches probiotiques, le score de symptômes nasaux a été significativement réduit. De plus, la recours au traitement pharmacologique a été nettement diminué. En particulier, cela a été le cas pour l’usage de corticostéroïdes locaux et des antihistaminiques par voie orale.  D’autres études seront conduites pour confirmer ces résultats ainsi que pour évaluer l’effet des probiotiques chez des asthmatiques.

Anania C et al., Treatment with a probiotic mixture containing Bifidobacterium animalis Subsp., Lactis BB12 et Enterococcus faecium L3 for the prevention of allergic rhinitis symptoms in children : a randomized controlled study. Nutrients, 2021, 13, 1315.

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Ginseng

Ginseng

et rhinite allergique

Le ginseng rouge coréen réduirait les symptômes et les niveaux d’IgE chez des personnes présentant une rhinite allergique. Il exercerait une action anti-allergique similaire à celle d’un antihistaminique.

Le ginseng rouge coréen, issu de la racine du Panax ginseng Meyer, est traditionnellement utilisé, en Corée, pour améliorer la santé. Les principes actifs du ginseng sont des ginsénosides, appartenant à la famille des saponines. Les ginsénosides exercent notamment des activités anti-inflammatoires et anti-allergiques.

Une activité anti-allergique

La réponse Th2 désigne le mécanisme immunologique prédominant dans la réaction allergique. Elle s’oppose à la réponse Th1 et est définie par rapport à celle-ci. Elle tire sa dénomination du rôle de chef d’orchestre joué par le lymphocyte Th2 (T helper 2) dans ce processus. Celui-ci est impliqué dans l’hypersensibilité immédiate et donc dans les maladies liées à l’atopie telles que la rhinite ou l’asthme allergiques.

Sur des modèles animaux d’allergie, le ginseng rouge coréen a montré qu’il diminuait l’activité des cytokines produites par les Th2. Cependant, aucun effet clinique du ginseng rouge coréen n’avait été montré sur la rhinite allergique.

Quels effets sur la réaction inflammatoire allergique ?

Une étude a évalué, chez des personnes présentant une rhinite allergique, les effets de la prise de ginseng rouge coréen sur la réaction inflammatoire allergique. Soixante personnes ont pris part à cette étude et ont été répartis en trois groupes qui ont reçu quotidiennement pendant quatre semaines du ginseng (3 mg/kg/j), un placebo ou un antihistaminique.

Les résultats indiquent que la prise de ginseng a significativement amélioré la rhinorrhée ainsi que les démangeaisons des yeux et du nez. Chez les personnes ayant pris le ginseng ou l’antihistaminique, le niveau des IgE totales a été significativement amélioré. Il en a été de même pour le niveau sérique des IL-4 et du taux d’éosinophiles dans les sécrétions nasales.

Ces résultats suggèrent que le ginseng rouge coréen pourrait être utile dans le traitement de la rhinite allergique. Néanmoins, des études sur de plus vastes échantillons sont nécessaires pour évaluer ses effets à long terme et confirmer son intérêt.

Jung JH et al., The effect of korean red ginseng on symptoms and inflammation in patients with allergic rhinitis. Ear, nose & throot Journal 2021 ; 100(55) : 712S-719S.

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