#15 Achat au numéro

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Description

Au sommaire du numéro 15

  • L’épine-vinette, de l’usage traditionnel à la recherche scientifique
    La recherche scientifique s’intéresse plus particulièrement aux effets de l’épine-vinette sur la résistance à l’insuline et le profil lipidique ainsi qu’à ceux de la berbérine, un de ses principes actifs le plus connu et le plus étudié.
  • Carence en iode & cancer, par le Dr Eléonore Djikeussi, oncologue, hématologue, micronutritionniste
    Les éléments épidémiologiques soulevant la question d’un lien possible entre cancer et goitre et d’un plausible lien entre carence iodée et cancer s’accumulent. Des études suggèrent ainsi qu’une supplémentation iodée pourrait avoir un rôle dans la prévention de certains cancers glandulaires et constituer un support de leur traitement.
  • Contrôler l’hypertension
    Des modifications du style de vie, seules ou associées à un traitement médicamenteux permettent dans de nombreux cas de normaliser la pression artérielle. Des nutriments, des extraits de plantes peuvent favoriser et améliorer sa régulation. Le magnésium, les vitamines D et K, la CoQ10, les nitrates du jus de betterave, les polyphénols de la grenade, les OPCs des pépins de raisin, l’extrait d’ail vieilli, les acides gras oméga-3 … peuvent ainsi, chez certaines personnes, avoir un rôle bénéfique.
  • La spiruline est-elle vraiment un super aliment ?
    La spiruline par sa richesse en protéines et en nutriments essentiels peut avoir des effets bénéfiques pour la santé et les chercheurs sont de plus en plus nombreux à s’y intéresser. Mais les conditions dans lesquelles elle a été cultivée et les transformations qu’elle peut avoir subies influent de façon importante sur sa composition en macro et micronutriments.
  • Variations génétiques et besoins nutritionnels Entretien avec Patrick Borel, directeur de recherche à l’INRA
    Patrick Borel nous parle de ses travaux qui montrent, notamment, les grandes différences interindividuelles d’absorption des nutriments et micronutriments et donc de leur utilisation par l’organisme. Tous les êtres humains partagent environ 99,9 % de leur ADN. Les 0,1 % restant font les différences. Elles interviennent notamment sur notre capacité à absorber et métaboliser les nutriments et les médicaments. Ces travaux sont une porte ouverte sur la nutrition personnalisée.

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